Pour revoir le live :
Les 5 conseils (et en fait y en a 6) :
- Change de perspective sur ta newsletter : écris comme si tu écrivais des petits épisodes d’une série. Ton but, c’est de créer quelque chose qui va rendre ton audience accro. Souvent, on pense les choses à l’envers : on se dit qu’il y a des « secrets » et des « trucs » à apprendre pour que les gens se mettent à cliquer frénétiquement. Ce n’est pas un cours en manipulation qu’il te faut, c’est un cours en plaisir. Les fans sont prêts à acheter, à lire, à en parler partout autour d’eux et à te suivre au bout du monde. Raconte nous une histoire qui donne envie d’être ton fan.
- Clarté, clarté, clarté : avant d’écrire, commence par te demander où tu veux aller. Sois la maîtresse de l’histoire, c’est toi qui sait où tu veux m’emmener alors je te suis.
Quelques exercices pour t’aider avant de te lancer :- Demande toi : Si j’avais 10 secondes dans un ascenceur avec cette personne avant de disparaître, qu’est-ce que je lui dirai
- Si une personne parle de ta newsletter à quelqu’un d’autre, comment est-ce que je veux qu’elle la décrive en une phrase ?
- L’exercice d’Alexandra Franzen : Feel, Know, Do : comment je veux que la personne se sente, qu’est-ce que je veux qu’elle sache, qu’est-ce que je veux qu’elle fasse ?
- A la Friends : donne toi un titre (provisoire) Celle qui…. ou Celui qui…
- Joue avec les formats. Internet regorge de conseils : il faut écrire du court, les gens n’ont pas le temps. Ah bah non il faut écrire du long, Google préfère. Ah mais en fait il faut faire des vidéos, c’est ça qui marche. Euh non faisons plutôt des photos c’est la tendance. Joue avec les formats pour trouver celui ou ceux qui te conviennent, et ne te laisse pas trop influencer à faire quelque chose que tu n’aimes pas. Tu sais ce qui marche à tous les coups et dans toutes les générations et indépendamment des modes ? Le bon boulot.
- Ecris vite, ne te retourne pas : Non, ta newsletter ne sera pas meilleure parce que tu auras agonisé dessus pendant des heures. Mets un chronomètre, donne toi 10 à 15 minutes pour écrire, puis retiens toi de tout refaire. Si tu as envie de rééditer, fais uniquement cet exercice : lis la à voix haute et enlève tout ce qui gêne la fluidité.
- Vois ça comme une correspondance. Si tu n’as pas beaucoup de monde qui te suit ou pas beaucoup de retours, ne te décourage pas. Ne sois pas la première à rompre la correspondance. Ecris en pensant à la personne qui va la recevoir, pas à une masse. Ce n’est pas une newsletter que tu écris, c’est une lettre personnelle, à chaque individu qui prendra le temps de la lire. Chacune de ces personnes est précieuse et si tu penses « ouais mais comment je gagne des sous ? », tu ne sais jamais si une personne ne va pas t’amener tout ton chiffre d’affaire de l’année. Chaque nouvel-le abonné-e est une personne précieuse à qui tu écris personnellement.
- La générosité. Je fais souvent cet exercice : si jamais c’était mon dernier mois, que je devais mettre la clé sous la porte, comment est-ce que je pourrais faire de ce mois une grande fête ? Souvent, les newsletters qui sont pénibles à lire ont une énergie de manque et de stress. Elles ne veulent pas traiter leurs fans comme des princes-ses, elles veulent supplier les gens de les faire exister.
Comment est-ce que tu peux renverser la vapeur et partager ce que tu as à partager dans une énergie de générosité ? Sois Taylor Swift.
- Jusqu’au dimanche 18 mars à 23h59 (parce que je sais pas régler le 00h sur mon système :p), rejoins le programme « Irrésistible » pour apprendre à écrire des newsletters qui rendent aussi accro qu’un épisode de Game of Thrones. Clique ici pour plus d’infos.
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