Pour celles qui veulent lire :

Cette année, j’ai pris un engagement très clair avec moi-même : mettre un gros coup de boost à mes compétences en coaching et business coaching. Du coup, je suis fourrée la moitié du mois à Paris ou ailleurs dans des stages, mes deux formations de coaching, mes séances de supervision et les séances avec mon coach.

Lundi dernier, j’en avais ras la casquette. J’étais en formation de coaching d’équipe, et je me voyais faire la mauvaise élève, aller sur mon téléphone, écouter d’une demi-oreille, faire l’amour avec ma fatigue et mon agacement.

J’ai pris un moment pour observer ça, et puis je me suis dit : « Minute. Tu es là pour quoi en fait ? ». Je suis là parce que j’ai envie de coacher des équipes dès cette année, pas d’attendre 2020. Je suis là parce que ce métier est un putain de trésors à boîtes, comme un secrétaire avec des milliers de tiroirs cachés et de messages secrets à l’intérieur, et que j’ai envie d’aller toucher mes limites, d’être la meilleure coach business que je peux être (spoiler : je pense pas qu’il y a des limites, ça va prendre du temps cette histoire).

Ça m’a remis dans la formation, et j’en ai profité à fond. J’étais toujours fatiguée, j’avais toujours besoin de prendre l’air le midi et de rentrer sans parler à personne le soir. Mais j’ai pris tout ce que je voulais prendre de ces deux jours, et je fais attention à mon énergie pour le reste du mois parce que je sais que j’ai poussé un peu trop fort ce mois ci.

Je te raconte ça parce que je vois autour de moi, chez les entrepreneurs, un fantasme morbide, dont personne ne parle : le fantasme du point mort. L’idée qu’il y a un endroit (de préférence bien balisé et fléché et pas en haut d’une trop grosse pente merci) dans lequel tu peux te poser. C’est complètement « toi », c’est ta mission de vie, ton idéal, et une fois que tu es là, tout s’aligne miraculeusement et les étoiles te montrent comme tu es bien.

Ça s’appelle la mort, les gars, cet endroit.

Notre nature d’humain, c’est d’évoluer, d’apprendre, de réajuster.

Donc si tu veux du « stable pour toujours » du « indéfiniment » du « tous les jours de ma vie », etc, passe ton chemin, c’est pas l’Aventure qu’il te faut, c’est une rente avec un permis de se faire chier pour le restant de tes jours.

J’annonce la naissance du mastermind Jane Austen, pour les entrepreneur.es qui ont de 0 à 3 ans de boîte et qui veulent créer le plan A de leur business et de leur vie. C’est pour toi si : tu aimes bosser pour développer une vie sur mesure, tu sais que certaines choses prennent du temps, mais c’est ok, tu es là pour rester, et tu as envie de gagner très bien ta vie avec ce que tu fais, mais tu ne sais pas par quel bout t’y prendre pour créer une mécanique du succès sur la durée.

Pour postuler, envoie moi un mail, laure@lesaventurieres.com le recrutement se fera au coup de cœur mutuel : tu as grave envie de bosser avec moi et tu sens que c’est ce qu’il te faut pour passer à ton plan A de business, et c’est pareil de mon côté : alors on y va !

Le mastermind commencera en juin, il aura lieu en ligne (coaching individuel + de groupe tous les mois) + 2 journées en personne à Nantes fin août et fin de l’année. En rejoignant le mastermind, tu auras accès à tous mes programmes en ligne et à une séance photo avec Cécile Cellerier, et crois-moi, tu auras envie de te montrer partout quand tu verras la beauté de ce qu’elle fait.