Tu es une Capitaine

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Qui sont les Capitaines ?

Les capitaines sont charismatiques et attirantes. Elles sont douées pour faire avancer leurs projets.

Les capitaines sont, comme leur nom l’indique, des leaders en puissance : en tant que capitaine, tu as une grande capacité à t’inspirer, aller à la rencontre de l’extérieur pour chercher de l’inspiration, confronter tes idées et te nourrir de l’énergie des autres (dans le bon sens, pas en mode vampire) et puis structurer ce que tu as découvert. Ça rend le fait de travailler avec toi en tant que client.e ou collègue très clair : on sait où on va et on sait à quoi s’attendre. 

 

Les capitaines ont besoin de l’extérieur pour se lancer : elles peuvent avoir l’impression de n’avoir “rien d’original à apporter”, mais c’est une incompréhension de leur mode de création : les capitaines sont les reines pour mélanger différentes influences, repartir d’un concept et l’enrichir, ou porter un concept existant à un niveau d’exécution et de réalisation qui le révèle. 

 

Pour une capitaine, le plus important, c’est de savoir où elle va, et de prendre des décisions pour ne pas rester dans le flou. A l’intérieur, elle peut avoir une âme de poétesse, et beaucoup d’adaptabilité, mais quand les choses sortent d’elles, c’est pour être structurées et organisées. 

 

Cette capacité à prendre des décisions et à regarder à long terme dans le passage à l’action fait d’elles des entrepreneures agiles, ouvertes à ce qui se passe et capables de créer des empires inspirés. 

Comment on détermine ton profil ?

On se base sur deux curseurs de préférences : ton mode de relation et ton mode de gestion du temps. Une capitaine est extravertie / structurée

Pour en savoir plus sur ces deux critères, tu peux aller dans le groupe Facebook retrouver des vidéos plus détaillées sur ces deux curseurs. 

Tes besoins

Pour fonctionner au meilleur de toi, tu vas avoir besoin :

  • Echanger avec des gens, te nourrir de l’extérieur (livres, films, expos…) pour clarifier ta pensée et tes idées

  • Savoir où tu vas et minimiser le nombre de choses “en flottement”

Tes super-pouvoirs

Tu peux compter sur tes talents naturels car :

  • Tu inspires et tu es capable de modéliser ce qui marche pour le reproduire

  • Tu sais planifier, structurer et anticiper

  • Tu es très bonne pour créer un mouvement de long terme et profiter de l’effet cumulé

  • Tu es également douée pour structurer quelque chose qui te dépasse, permettre à une équipe de donner le meilleur d’elle-même

Exemples de Capitaines

Marie Forleo

Michelle Obama

Taylor Swift 

Oprah Winfrey 

Hermione Granger

Voldemort (oui bah c’est toi qui choisit ce que tu fais de tes pouvoirs hein) 

Maintenant, entrons un peu plus dans le détail : qu’est-ce que ça veut dire pour ton business, tout ça ? Quelles sont les priorités et les blocages spécifiques aux Capitaines ?

On a déterminé 5 grandes étapes de business, à toi de choisir celle qui te correspond le mieux pour aller lire les détails de ton profil, et les ressources et conseils personnalisés pour toi !

Hobbyiste

Tu as un projet et tu es bien décidée à y aller… mais ce n’est pas encore ça. Tu attends que le moment soit propice, tu n’es pas encore bien sûre de ton coup, tu as fait quelques ventes à des potes, ou pas du tout encore. Bref, c’est le début de l’aventure !

Apprentie

Finis les horaires et les réunions pourries, à toi la liberté !

Tu es lancée, et tu te demandes par où commencer pour que ce business devienne une réalité qui roule, pas juste un fantasme. Maintenant, faut trouver les clients.

 

Freelance

Ça fait quelques mois ou années que tu es à ton compte, et les choses roulent pour toi… Mais tu n’as pas l’impression de maîtriser grand chose. Tu as envie de plus de prévisibilité et de fiabilité dans ton business, et peut-être même d’un peu plus de variété.

 

Aguerrie

Tu es arrivée au stade où tout marche… tellement bien qu’un double de toi ne serait pas du luxe.

Tu as compris ta valeur sur le marché et tu as des systèmes en place, maintenant, il est temps de reprendre de la hauteur pour que ton business marche pour toi, sans te marcher dessus.

 

Leader

Tu as une équipe réunie autour d’une vision commune qui vous donne envie de déplacer des montagnes… 

Tes clients sont des fans et des ambassadeurs, et tu sais créer des offres qui leur correspondent. 

 Maintenant, le stress est plutôt sur comment diriger le navire.

 

Ton profil en action

Découvre tes challenges et ton plan d'action sur mesure

Capitaine Hobbyiste

Tu trouveras ici : les pièges à éviter, ton plan d’action et des ressources sur mesure.

Là où tu en es

Contrairement à 99 % des gens qui passent leur temps à se plaindre de leur vie tout en restant les bras croisés, tu as fait le premier pas pour que ça change en regardant la réalité : ce que tu fais ne te convient pas/plus. Accepter les faits, plutôt que négocier avec ça, c’est le point de départ pour allouer ton énergie au bon endroit : là où tu as du pouvoir pour changer.

 

Tu as envie d’être à ton compte, peut-être même un projet précis… Mais tel le bernard-l’hermite, t’attends que la voie soit libre pour y aller. Quand les enfants seront plus grands, quand la situation économique sera plus favorable, quand tu auras confiance en toi, quand ton ou ta coinjoint·e gagnera suffisamment d’argent pour deux, quand tu seras mieux formée… 

 

Que tu sois en reconversion, au chômage ou fraîchement immatriculée, tu as tout à gagner à mettre ton énergie de capitaine au service de ton projet plutôt que de tes fantasmes. Peut-être as-tu fait quelques prestations gratuites, à prix symbolique ou “libre”, mais si tu n’arrives pas à enclencher la suite, on a des infos pour toi.

 

Les yeux rivés sur le sommet de la montagne, tu te laisses écraser par l’énormité de ton projet, et par toutes les peurs qu’il agite en toi. Rappel : Rome ne s’est pas construite en un jour, et en 2004, Facebook était un album photo pour étudiants d’Harvard… Alors, par quoi commencer pour passer du hobby à l’activité rémunérée ?

Les pièges à éviter

(ou comment faire du sur place)

  • “C’est pas le bon moment pour me lancer, je vais attendre que l’économie reparte” : tu sais au fond de toi que c’est une excuse, mais ça n’empêche pas de rester sur place. En tant que capitaine, tu as besoin d’un plan et de prendre des décisions pour être au meilleur de toi. Ne reste pas entre deux eaux, où ton énergie est au plus bas. Choisir, c’est avancer, et même les mauvaises décisions te permettront d’affiner ton plan, mesure les risques, fais ce qui est bon pour toi et avance. 
  • “Je peux pas faire ça, j’ai pas la formation” : avant de te jeter dans une formation, est-ce que tu es déjà allée sur le terrain ? En tant que capitaine, tu n’auras accès aux infos à l’intérieur de toi qu’après t’être confrontée à l’expérience et à l’extérieur. Fini les fantasmes, si tu veux que ça bouge, contacte quelqu’un qui fait le boulot que tu veux, passe une journée avec, propose ton aide gratuitement, bref, trouve une façon d’aller sur le terrain. Ensuite, si besoin de formation, tu trouveras les ressources. 
  • “J’aurais dû m’y prendre avant, maintenant c’est trop tard…” : tu es une capitaine, ce qui veut dire que le long terme est ton allié. Ne perds pas de temps à regarder en arrière, et pose les premières pierres tout de suite, ton super pouvoir caché, c’est justement le temps. 
  • “Il me faut un business plan si je veux avoir l’air sérieuse” : je sais, c’est ce qu’on te dit à la CCI. Mais euh, un business plan sur quoi ? T’as pas encore vu la tête d’un client… Fais un plan minimaliste, avec un objectif de revenus et quelques indicateurs chiffrés, et puis avance avec ça. Au début, ça n’est pas utile d’avoir un plan à plus de 1 ou 3 mois, de toutes façons tout évolue très rapidement. 

Ton plan d’action 

1. Solliciter les bonnes personnes : T’es tentée par la poterie ou par l’éducation canine, mais t’as pas la moindre idée de ce qu’il faut faire pour monter un business là-dedans ? Lâche Internet et les fantasmes, et va rencontrer des gens. Qui fait ce que tu aimerais faire, et pourrait te renseigner, te conseiller, te laisser l’observer en action, te permettre de tester… ?

2. Tester un maximum : utilise tes talents de capitaine pour tester et apprendre, c’est l’une de tes zones de génie : teste, tire les leçons de tes tests et remet à jour ton plan régulièrement. Sans plan, tu risques de tourner en rond dans tes expérimentations donc prends le temps de te poser et de te demander ce que tu veux apprendre, au service de quoi tu mets en place tes tests, et fais des points régulièrement pour vérifier où tu en es, et si le plan est toujours le bon.

3. Commencer petit : La réussite, c’est pas un coup de paillettes et un ticket gagnant, c’est une accumulation de petites décisions, jour après jour (je sais, c’est moins sexy). Commence dès aujourd’hui : anime un atelier chez toi pour 4 copines, fabrique une dizaine de bijoux et trouve un endroit où les vendre, propose les à ta famille… Quelle est l’offre la plus simple que tu puisses mettre en place pour tester ton idée et découvrir ce que tu fais ?

Tu serais surprise de savoir comment les business ont commencé en réalité : le mien a commencé quand j’ai accompagné gratuitement 2 copines qui avaient envie de se reconvertir, puis lancé un programme en ligne pour aider 10 amies d’amies à générer du bouche à oreille pour leur activité (ce programme n’a pas survécu à sa première version, qui coûtait je crois, 10 ou 15 euros).

Tu as es la plus inspirée quand tu peux mélanger, mixer et réinventer, n’hésite pas à y aller pour avoir du matériau. 

 

Ressources et inspirations

Les pépites des Aventurières :

 

Qui et où regarder pour accélérer ta transformation ?

« J’avais 1000 demandes et 20 écharpes de prêtes » – Interview de Virginie, la fondatrice de Léora : Après 10 ans dans la banque, Virginie s’est lancée dans la fabrication d’écharpes de portage bio et équitables pour les jeunes mamans, sans aucune connaissance dans le secteur textile. Dans cette interview follement riche, elle te raconte comment elle s’est remonté les manches pour apprendre son métier et construire l’entreprise qui répondait exactement à ses valeurs.

Les pépites des Aventurières :

 

Qui et où regarder pour accélérer ta transformation ?

« J’avais 1000 demandes et 20 écharpes de prêtes » – Interview de Virginie, la fondatrice de Léora : Après 10 ans dans la banque, Virginie s’est lancée dans la fabrication d’écharpes de portage bio et équitables pour les jeunes mamans, sans aucune connaissance dans le secteur textile. Dans cette interview follement riche, elle te raconte comment elle s’est remonté les manches pour apprendre son métier et construire l’entreprise qui répondait exactement à ses valeurs.

Capitaine Apprentie

Tu trouveras ici : les pièges à éviter, ton plan d’action et des ressources sur mesure.

Là où tu en es

Entrepreneure depuis peu, t’as débarqué dans le game dans un mélange d’enthousiasme, d’appréhension et d’inconscience. Le cap de ton activité est un peu flou : une tambouille de “je choisis mes horaires”, “finies les missions pourries” et “plus de patron pour me taper sur le citron”. Liberééééééée Délivrééééééée

 

Bref, t’as pas la moindre idée d’où tu mets les pieds, mais t’as eu le courage de sauter. 

 

Passé l’euphorie des démarches URSSAF (non ? ah bon) et le lancement en fanfare de tes 3-4 premières offres, c’est un peu la déconvenue. Ils attendent quoi les gens pour se jeter sur le formulaire de contact ? Tu es face à la réalité : sans client, pas de business. Pas de panique, c’est là que les choses deviennent excitantes… Si tu les prends dans le bon ordre.

 

Les pièges à éviter

(ou comment faire du sur place)

  • “Je vais commencer par faire un site web et des cartes de visite, ça fait pro” : OK mais faire pro, ça n’a jamais rapporté un kopek. Passer du temps sur des actions qui rapportent rien (et oui, ton talent pour la structure peut t’amener à structurer… du vide dans cette phase), c’est LA première erreur que tu peux éviter.
  • “J’ai lu qu’il fallait avoir une proposition de valeur, je vais réfléchir à ça” : les besoins de tes clients et comment tu y réponds, c’est un truc que tu découvres au fur et à mesure, en pratiquant, pas en y réfléchissant dans un mélange de panique et de projections de ta propre situation. 
  • “Pour trouver des clients il faut être présente sur les réseaux sociaux” : s’il suffisait d’être sur les réseaux pour trouver des clients, ça se saurait. Ce n’est pas qu’il faut y être ou pas, c’est plus que tu vas gagner à prendre le temps de prendre des actions délibérées. 
  • “Mon principal problème, c’est que je ne sais pas par où commencer” : alors non, ton principal problème c’est la peur de te lancer, ça te brouille les radars et du coup tu peux tomber dans l’illusion qu’il y a “une bonne façon de commencer”. Il n’y en a pas. 

Ton plan d’action 

1. Vendre : Quand tu débutes, tu ne sais pas ce que tu vends. Et c’est normal. Oh, tu peux y réfléchir pendant des mois et te raconter que t’es pas suffisamment au clair pour te lancer. Mais tout ce que tu vas écrire sur ton Google Doc, quel que soit le temps que tu y as passé, ce sera balayé à la seconde où tu le confronteras à des vrais gens dans la vraie vie. Tu es une capitaine, c’est là que tes talents naturels vont te servir : ose parler de ton activité, proposer des formats ou des offres, et adapter en fonction du feedback. Ne te précipite pas à chercher tout de suite LA tagline, LA proposition de valeur hyper claire et différenciante. Détendons nous tout de suite : c’est normal que tes premières offres demandent du boulot derrière. 

2. Comprendre ce qui crée un déclic chez tes clients : Ce qui te différencie du mode hobby, c’est que là, c’est pour de vrai, donc même si tu es en phase de test, commence à développer ton oeil d’entrepreneure et à affiner constamment ta connaissance de tes clients : qu’est-ce qu’ils achètent chez toi ? Où est-ce qu’il t’ont trouvé et pourquoi ils bossent avec toi ? Qu’est-ce qui les a décidé ?

C’est un bon moment pour ouvrir un fichier dans ton drive, ou à un endroit où tu le retrouveras facilement, et noter ce que tu apprends sur tes clients et sur ton fonctionnement au fur et à mesure.  

3. Pratiquer : Tu peux lire des livres et regarder des vidéos si ça te chante. Mais la vérité, c’est que plus tu pratiques, plus tu progresses. Plus tu vends tes offres – dont certaines qui marchent pas, ou qui te plaisent pas – plus tu sais quelle professionnelle t’as envie d’être, et ça quel que soit ton profil ! 

Ressources et inspirations

Les pépites des Aventurières :

 

Qui et où regarder pour accélérer ta transformation ?

« J’avais 1000 demandes et 20 écharpes de prêtes » – Interview de Virginie, la fondatrice de Léora : Après 10 ans dans la banque, Virginie s’est lancée dans la fabrication d’écharpes de portage bio et équitables pour les jeunes mamans, sans aucune connaissance dans le secteur textile. Dans cette interview follement riche, elle te raconte comment elle s’est remonté les manches pour apprendre son métier et construire l’entreprise qui répondait exactement à ses valeurs.

Capitaine Freelance

Tu trouveras ici : les pièges à éviter, ton plan d’action et des ressources sur mesure.

Là où tu en es

Ça fait déjà quelques mois ou années que t’as lancé ton activité, et la mayonnaise a commencé à prendre : t’as quelques clients, du CA tous les mois. Mais tu fais de longues journées et c’est pas toujours excitant. Parfois tu te lèves pour conquérir le monde, et parfois tu te demandes ce que tu fous là plutôt qu’au Pérou à tondre des lamas. Bizarre, tu fais pourtant ce que tu aimes…

 

Bref, c’est les montagnes russes, et si t’es honnête, c’est aussi le plafond côté revenus. Comme tu ne peux physiquement pas bosser plus, tu es coincée entre le temps qui manque et les sous qui ne se multiplient pas si facilement. Mais comme y penser est trop angoissant, tu gardes la tête sous l’eau en espérant que ça passe. 

 

Sur le papier, tu fais tout comme il faut, mais le résultat, c’est beaucoup de sacrifices pour un niveau de kif et des résultats très relatifs. Elle est où l’embrouille ? Tu sais une chose : si la situation n’évolue pas, tôt ou tard tu finiras par fermer boutique.

Les pièges à éviter

(ou comment faire du sur place)

  • “Je me lasse de tout, je suis quelqu’un d’instable” : il n’y a aucun mode de fonctionnement problématique, il n’y a que des jugements sur comment on fonctionne. Les capitaines ont beau aimer la structure, s’il n’y a pas de sens à ce qu’elles font, la motivation peut vite manquer à l’appel. Ça arrive à tous les entrepreneurs, et c’est normal. Avant de tout jeter pour te donner l’illusion de la liberté, lis la suite.
  • “Si je l’ai fait, c’est que c’est pas très difficile” : ne pas reconnaître ses victoires et le chemin parcouru, toujours regarder ce qu’il manque ou reste à faire, c’est la voie royale pour s’épuiser et partir en burn-out. Les endroits qui sont “faciles” pour toi, et qui te donnent de l’énergie, sont ceux qui correspondent à ton mode de fonctionnement. Ça peut être les endroits de tortures pour d’autres. Reconnaître ce qui est facile et excitant pour toi, c’est t’autoriser à fonctionner encore plus d’une façon qui te convient, et chercher de l’aide ou des collaborations là où tu n’es pas en kif.
  • “J’aimerais bien que ça roule, que j’aie plus besoin de chercher des clients” : ah, le fantasme du business qui marche tout seul… Oui tu peux créer de la récurrence et de la fiabilité dans ton activité, mais ça va demander de passer à une nouvelle phase : créer des systèmes pour attirer des clients de façon régulière, mais ça ne veut pas dire que tu n’auras plus rien à faire, ni que les challenges s’arrêtent là. Ça tombe bien les capitaines adorent structurer. Même si ça reste un challenge pour n’importe quelle entrepreneure de passer du mode “test” du début pour commencer à structurer ses offres et ses sources de revenus, c’est un défi pour lequel ton mode de fonctionnement va être un atout. 
  • “J’ai tout essayé, c’est juste qu’il y a pas beaucoup de demande…” : on pense toujours qu’on a tout essayé, mais c’est rarement vrai. C’est le moment de prendre un temps de recul, et de regarder ce qui se passe vraiment : est-ce que tu es toujours motivée par ce que tu fais ? Est-ce que tu as besoin d’un temps d’inspiration, d’aller voir ce qui se fait, te nourrir d’échanges avec des pairs ou des clients potentiels ? Ou est-ce que tu as besoin d’un temps d’introspection, de prendre soin de toi, et d’aller voir ce qui se joue dans ta vision, ton niveau d’ambition et d’engagement ? 

Ton plan d’action 

1. Rebrancher ton ambition et ta folie : les capitaines peuvent se retrouver dans une forme de routine qui manque de saveur si elles ne passent pas assez de temps à se demander : qu’est-ce que je veux vraiment ? Le mode première de la classe a pu t’apporter plein de choses, mais il ne va pas t’emmener vers un business surkiffant. Un succès durable, c’est un succès qui part de l’intérieur : de tes désirs, de tout ce qu’il y a de plus irrationnel et de plus inexplicable chez toi. Profite des obstacles que tu rencontres pour entrer en contact plus intimement avec toi. 

2. Capitaliser sur ce qui marche déjà : C’est là où tu peux te reposer sur ton mode de fonctionnement. Une fois que tu sais ce que tu veux, passe à l’inventaire : appuie toi sur ce qui a été fait, reproduis ce qui a marché, dégage ce qui ne te vas plus et mets ton énergie à améliorer ce qui en a besoin ! 

3. Créer de la récurrence et de la sécurité dans ton activité : La précarité de l’entrepreneur, c’est pas une fatalité. Le stress de reproduire un chiffre d’affaire tous les mois, c’est le moment de lui dire adieu. Profite de ton amour pour la structure pour créer un système qui t’amène de la fiabilité et de la répétition. Qu’est-ce que tu peux mettre en place pour attirer tes clients de façon régulière et continue ? Comment est-ce que tu peux faire pour que tes clients reviennent chez toi ? 

4. Mettre en place un système de progression continue sur ton coeur de métier : Le kif, c’est aussi quelque chose qui se nourrit. Une fois que tu seras au clair sur ton ambition, prends le temps de regarder ton système actuel de progression. Quelles sont les petites actions répétées que tu fais pour aller plus loin dans ton art, dans ton coeur de métier ? Quels sont les domaines plus flous, ou moins nourris ?  Utilise ton pouvoir de structure à ton service : en organisant ton temps pour qu’il te nourrisse tous les jours, pas qu’il fasse de toi l’esclave de ton futur (tu sais, ce futur dans lequel tu auras enfin du temps pour toi et où tu pourras ralentir le rythme… il n’existe pas) 

5. Avoir un revenu prédictible et une liste d’attente : Tout l’enjeu pour toi, c’est de passer à “c’est fou que des gens veulent bien bosser avec moi” à “j’ai tellement de demandes que j’ai mis en place une liste d’attente”, ça va te demander de développer une nouvelle vision et des habitudes d’entrepreneure (où la valeur va au-delà de ton temps de travail) pour que ton business gagne en maîtrise et en fiabilité.

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Capitaine Aguerrie

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Là où tu en es

T’es arrivée à un stade où ton souhait le plus cher, ce serait te dédoubler. Trop de demandes, pas assez de temps / de bras pour les gérer. T’as pourtant délégué quelques trucs, genre la compta et la maintenance de ton site (le plus relou quoi). Mais ça ne suffit plus.

 

Pour continuer de te développer et réaliser ta vision folle, il te faudrait une équipe, ou au moins des partenaires fiables et réguliers. Ce qui veut dire embarquer des gens dans ton aventure, et changer de focus : tu vas avoir besoin de penser aux opérations (argh gloups), c’est-à-dire : tout ce qui permet à ton business de rouler en dehors de la production. Et ça, ça fout la trouille. Est-ce que finalement tu resterais pas là, sous l’eau mais bien planquée ?

 

Si tu veux que ton business ne dépende plus uniquement de ton temps et de tes compétences, t’as qu’une seule option : créer un système qui roule et t’entourer des bonnes personnes. Ça va te demander d’assumer un rôle de leader. Et ça va sévèrement challenger ton niveau d’ambition, de folie et d’affirmation.

Les pièges à éviter

(ou comment faire du sur place)

  • “Je préfère tout faire moi-même, au moins je suis sûre que c’est bien fait” : c’est le moment de regarder la réalité en face : est-ce que ton business marche pour toi ? Ou c’est toi qui trime pour lui ?
  • “Je veux pas travailler avec des gens, c’est trop lourd, ça crée trop de contraintes” : clairement, monter une équipe c’est un challenge, mais tu n’as pas besoin de tout faire à la fois, tu peux commencer par une personne, prendre le temps d’apprendre, et grandir à partir de là. En tant que capitaine, tu vas avoir du talent pour repérer et attirer les personnes douées et passionnées, et pour créer les conditions de travail ensemble. Le leadership, ce n’est pas un talent inné pour qui que ce soit, ça va te demander du travail et de l’apprentissage, comme un nouveau job (sorry 🤷‍♀️) 
  • “Combien je paie de charges par mois ? Aucune idée, je suis nulle avec les chiffres” : si tu ne t’en sors pas et que ça te donne 0 énergie de faire tes chiffres, trouve toi une partenaire ou une prestataire qui va kiffer cette partie du taf. Parce qu’à ce stade, ce n’est pas optionnel.
  • “Si je prends des gens oufs pour bosser avec moi, je vais faire quoi, je deviens exploiteuse en chef ?” : C’est un point qui pourrait passer à la trappe, mais si tu recrutes des personnes pour travailler avec toi, ça veut dire qu’un certain nombre de choses que tu fais aujourd’hui et dans lesquelles tu reconnais ta valeur ne vont plus être de ton ressort. Peut être même que tu vas sortir de la production, ce qui faisait ton coeur de métier. Au minimum, tu vas passer du temps à coordonner ton équipe, et pas à travailler en direct sur le business. Il peut y avoir une période de flottement et d’ajustement, tu peux avoir la sensation de perdre du contrôle sur les choses. Beaucoup de monde retourne à la case freelance ou ne se lance jamais au delà parce que ça demande un gros shift d’état d’esprit et de vision de ta carrière. Souviens-toi pourquoi tu fais ça, et si tu n’en as pas vraiment envie, regarde ce que tu peux faire pour avoir une équipe minimaliste de partenaires et garder uniquement les tâches que tu kiffes et qui te nourrissent toi. 

Ton plan d’action 

1. Assumer encore plus ta folie et ta couleur : Pour continuer à avancer sur le chemin du business exponentiel et kif exponentiel, il va falloir passer un cap en termes d’ambition et de réalisation.  : business exponentiel, kif exponentiel. La première étape pour toi, c’est de prendre le temps pour te reposer cette question : dans un an, qu’est-ce que je veux voir dans ma vie qui m’indiquera que j’ai passé une année géniale pour moi ? 

2. Développer ton leadership : pour conduire une équipe de Rolls Royce et pas juste une bande de potes qui se marrent bien, tu vas devoir assumer ta vision et savoir la transmettre à ton équipe. En tant que capitaine, tu vas être au top pour recruter et insuffler l’enthousiasme dans ton équipe, et créer un système d’opérations et d’organisation qui fonctionne pour tout le monde et pas juste pour toi. Encore une fois, patience. Pense à recruter aussi des personnes flexibles, qui sauront garder la tête froide et être ressources dans les imprévus. 

3. Miser sur les bonnes personnes : qu’elles intègrent ton équipe comme associés, salariés ou collaborateurs freelance, toutes les personnes qui montent à bord doivent te foutre les pétoches tellement elles sont fantastiques. Reprends ta vision pour l’année, prends le temps de regarder où tu veux aller et ce dont tu as besoin. Puis, entoure toi, rencontre d’autres dirigeants, rejoins le club des Femmes Dangereuses si ça te parle. Dans tous les cas, ne reste pas seule avec tes interrogations, tu vas avoir besoin de gens qui sont passés par là avant toi. 

Ressources et inspirations

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Capitaine Leader

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Là où tu en es

Pour développer ton entreprise, tu as su t’entourer. Ton équipe est réunie autour d’une vision commune qui vous donne envie de déplacer des montagnes… Même si c’est parfois chaotique. Côté business, tu es loin du stress de générer les premiers euros : tes clients sont des fans et des ambassadeurs, et tu sais créer des offres qui leur correspondent. 

 

Non, le stress maintenant, il est plutôt sur comment diriger le navire. Parce qu’être une experte qui défonce, c’est pas du tout la même chose qu’être une leader qui défonce. Et il y a du flou pour toi, sur comment te développer à partir de là. Ton temps est très précieux, et en même temps il faut du temps pour créer de nouvelles choses : quelque chose doit bouger, mais quoi ? 

 

Comment grossir et générer plus de revenus, tout en gardant la qualité ? Est-ce qu’il faut vraiment grossir encore ? Quel système de progression et de prise de recul mettre en place, qui te convienne et génère des résultats financiers, mais surtout humains ?

Les pièges à éviter

(ou comment faire du sur place)

  • “Personne ne peut le faire comme moi” : c’est une nouvelle étape de lâcher-prise et d’assumer pleinement ton nouveau rôle. Même si tu adores ton coeur de métier (et c’est important que tu continues à pouvoir le faire), ton rôle principal, c’est de diriger le bateau, et de donner les moyens à ton équipe de produire de la valeur et de continuer à grandir humainement et en qualité. Imagine que ton entreprise n’ait plus besoin de toi en production ? Que tu fasses ton métier par plaisir, en sachant que les revenus sont assurés par ton système et la qualité des opérations de ton équipe. Pas mal non ?
  • “Mon but c’est que les gens soient autonomes” : l’autonomie, le fantasme que les choses roulent sans toi, ça ne fonctionne pas. Aucun artiste ou sportif de haut niveau se dit : “mon but, c’est d’être autonome et de me passer de mon coach et mon entraîneur” : il cherche constamment à s’améliorer, et il crée le système qui le soutient là-dedans. C’est pareil pour toi, ton rôle peut bouger, tu peux même te fixer comme objectif de revendre ta boîte, mais dans tous les cas, plus tu es au clair sur là où tu veux aller, plus tu peux créer les conditions pour que ça arrive. 
  • “Pour faire plus de chantiers, il suffit d’avoir plus de grues” : nope. Tu vas devoir réfléchir différemment : si t’as que des gens en back office, tu structures plein de choses mais t’as rien à structurer ; si t’as que des personnes qui produisent, tu peux créer plein de trucs mais rien ne se structure et tu réinventes la roue à chaque fois, ce qui te rend vulnérable. C’est à toi d’avoir un oeil là-dessus. Deux questions pour t’aider : est-ce que tu as assez de personnes qui aiment lancer de nouveaux projets / est-ce que tu as assez de personnes qui aiment optimiser les projets ? Si tu prends la vie d’un projet depuis sa conception jusqu’à l’étape où il peut être livré de façon fiable et répétable, quelles sont toutes les tâches à accomplir ? Où est-ce qu’il manque du monde ?

Ton plan d’action 

1. Progresser : en créant un cadre de transparence et de progression au sein de ton équipe. La structuration et les plannings clairs, ce n’est pas suffisant pour créer une équipe qui dure. C’est le moment d’être extrêmement honnête avec ce que tu sais faire et ce que tu ne sais pas faire (ou qui te pompe de l’énergie) et d’aller en apprendre plus, ou t’entourer différemment. Dans le recrutement, c’est beaucoup plus souvent les problèmes d’attitude et de communication qui font foirer une collaboration qu’une question de compétences. 

2. Changer ton environnement et tes sources d’inspiration : rencontre d’autres dirigeants, dédramatise cette phase. Passer de “c’est mon bébé” à “c’est une entreprise qui roule”, c’est un choc. Je te le redis : beaucoup de gens font demi-tour à cet endroit là. Si tu ressens de la tension, de la fatigue, n’y rajoute pas du jugement : c’est normal. Il n’y a pas de bonne ou mauvaise réponse, mais prends le temps de t’écouter et de voir ce que te nourrit, toi. 

3. Devenir obsédée du long terme : Penser long terme, ça peut vouloir dire faire de plus petits mois ponctuellement, pour mettre de l’énergie sur la création d’un système de prise de rendez-vous et conversion clients plus efficace. C’est aussi s’intéresser au fonctionnement actuel de l’entreprise : ce que l’équipe crée doit idéalement tenir la route même si les membres bougent, évoluent, et sans demander exponentiellement de ton temps. Où est-ce que ça flotte ? A quel horizon tu peux créer des postes suffisamment clairs pour qu’ils deviennent des standards de comment on fonctionne dans ton entreprise ? 

4. Prends encore plus de recul pour distinguer ce qui te tient à coeur émotionnellement mais qui devient le goulet d’étranglement de ta boîte et ce qui fonctionne : qu’est-ce que tu peux lâcher ? A quel endroit es-tu encore indispensable ? Est-ce que c’est la seule façon de procéder ? 

Ressources et inspirations

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