Cet article de Danielle Laporte me donne envie de partager ma liste (et de t’inviter à partager la tienne en commentaire)
- J’abandonne l’envie de prouver que je suis à la hauteur.
- J’abandonne les cases et les définitions bien strictes, aussi rassurantes qu’étouffantes.
- Je laisse tomber la comparaison, pendant qu’on y est. Je choisis d’être inspirée et de célébrer le génie des autres.
Je laisse tomber le perfectionnisme dans tous ses états : trouille, procrastination, doutes, machine arrière, brouillons qui ne voient jamais la lumière du jour, syndrome de l’imposteure et autre joyeusetés.
- J’abandonne l’auto-censure et la peur de déranger.
- Je laisse tomber les bonnes réponses, et je prends les questions excitantes à la place.
- J’abandonne l’étrange envie d’être normale. C’est bien plus rigolo d’être moi.
Je te dis au revoir, besoin de certitude. Notre relation a toujours été complexe et anxiogène.
Ma nouvelle pote, c’est l’inconnue (je sais, je sais, c’est l’inconnu au masculin,
mais l’inconnue au féminin ça me donne l’impression d’avoir une nouvelle pote un peu mystérieuse, je kiffe).
- J’abandonne la linéarité, j’embrasse les cycles et les changements.
- J’abandonne ce qui ne me va pas, ce qui ne me va plus, sans excuse et sans me justifier.
- J’abandonne les ‘bonnes décisions’ je choisis d’être vulnérable, humaine et imparfaite.
A toi. Qu’est-ce que tu laisses derrière pour ta prochaine mue ?
Photo by Greg Arment on Unsplash
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