Les aides financières réservées aux cheffes d'entreprise : mythe ou réalité

05/05/2025

Le contexte des aides financières pour les femmes entrepreneures

En France, l’État promeut activement l’entrepreneuriat au féminin, notamment via des actions de sensibilisation, d’accompagnement à la création d’entreprise et parfois par des aides financières. Toutefois, il faut savoir que la nature de ces aides diverge selon les projets, les secteurs d’activité et les régions. De plus, même si elles ne sont pas toujours étiquetées comme « exclusivement féminines », certaines subventions ou prêts préférentiels s’adressent plus spécifiquement à des populations sous-représentées, dont font partie les femmes dans certains domaines.

Certaines institutions publiques, à l’image de Bpifrance, engagent régulièrement des actions pour soutenir et financer l’innovation et la création de valeur. Dans cette perspective, elles peuvent mettre en place des soutiens ciblés pour encourager la diversité. Outre l’appui financier, il est parfois proposé un accompagnement technique pour préparer un business plan ou pour mieux appréhender les démarches administratives. L’ensemble de ces mécanismes démontre une réelle volonté de réduire les freins historiques rencontrés par les cheffes d’entreprise, qu’il s’agisse de stéréotypes ou d’inégalités dans l’accès aux capitaux.

En dépit de ces efforts, beaucoup de femmes continuent de se demander si elles peuvent prétendre à des aides dédiées et, dans l’affirmative, comment les solliciter. Certaines se disent : « J’ai entendu qu’il existait des subventions réservées aux femmes, comment y accéder ? » ou encore « Est-ce que l’on ne fait pas trop de bruit autour d’aides supposées, alors que sur le terrain, les dossiers sont quasi inaccessibles ? ». Il n’y a pas de réponse universelle, mais il est essentiel de connaître les dispositifs-clés et la manière de déposer un dossier avec succès.

Les principaux dispositifs et leur accessibilité

Parlons à présent des aides financières concrètes auxquelles les cheffes d’entreprise peuvent potentiellement prétendre. Commençons par préciser que, dans certains cas, le fait d’être une femme est un critère favorable, sans toutefois constituer le seul paramètre. Les financeurs et organismes d’accompagnement s’intéressent aussi à la viabilité économique des projets, ainsi qu’à leur impact local, social ou environnemental. Voici quelques dispositifs de référence à connaître :

Régimes et aides pour la création d’entreprise

Le statut d’entrepreneure solo ou la gestion d’une petite structure vous permet de prétendre à diverses aides, parfois cumulables :

• L’ACRE (Aide aux créateurs et repreneurs d’entreprise) : Elle permet une exonération partielle de charges sociales sur une période donnée. Longtemps appelée ACCRE, cette mesure ne fait pas de distinction de genre, mais peut constituer un véritable tremplin financier au début d’une aventure entrepreneuriale, surtout si vos revenus sont modestes. Pour les cheffes d’entreprise, cette exonération se révèle souvent précieuse pour limiter les dépenses de démarrage.

• L’ARCE (Aide à la reprise ou à la création d’entreprise) : Gérée par France Travail (Pôle emploi), l’ARCE offre la possibilité de recevoir une partie de ses allocations chômage sous forme de capital. Ici encore, il s’agit plutôt d’un mécanisme général, mais fortement apprécié pour sécuriser la trésorerie initiale.

• Le NACRE (Nouvel accompagnement pour la création ou la reprise d’entreprise) : Il s’agit d’un accompagnement d’ordre technique et financier, qui peut se traduire par un prêt à taux zéro. Le NACRE s’avère particulièrement intéressant pour celles qui portent un projet créateur d’emploi ou ayant une forte utilité sociale.

Subventions et concours dédiés aux femmes

Certaines structures privées et publiques mettent en place des programmes spécialement destinés à encourager l’entrepreneuriat féminin :

• Les concours d’entrepreneuriat féminin : En France, de nombreux concours locaux ou nationaux récompensent les initiatives portées par des femmes. On peut citer par exemple le concours « Créatrices d’avenir », qui valorise l’innovation, la cohérence du projet et l’engagement de la fondatrice. Ces initiatives offrent non seulement un coup de projecteur, mais aussi des dotations financières et un réseau d’experts pour faire progresser son entreprise.

• Les subventions régionales : Certaines régions proposent des aides spécifiques pour soutenir l’entrepreneuriat chez les femmes. Les montants varient, ainsi que les conditions d’éligibilité. L’idéal est de se renseigner auprès du Conseil régional, de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) ou de plateformes dédiées à la création d’entreprise.

• Les fondations privées ou mécénats : Des fondations œuvrent pour réduire les inégalités de genre dans le domaine professionnel, y compris l’entrepreneuriat. Certaines offrent des bourses et subventions pour des projets ruraux, écologiques ou incitant à l’embauche de femmes en reconversion. Même s’il ne s’agit pas forcément de programmes officiels, cette piste peut s’avérer intéressante quand on sait où chercher.

Réalité ou effet d’annonce ? Démêler le mythe du concret

Lorsque l’on aborde les aides financières « réservées » aux femmes, une certaine ambiguïté plane. Dans la pratique, la plupart des subventions et prêts ne sont pas exclusivement dédiés aux cheffes d’entreprise, mais incluent un critère spécifique visant à encourager l’entrepreneuriat féminin. Par exemple, un organisme de microcrédit pourra proposer un taux plus avantageux ou une simplification des formalités pour les femmes qui créent dans un certain secteur d’activité. Toutefois, ces dispositifs relèvent souvent de budgets limités et peuvent s’accompagner de conditions précises (zone géographique, domaines innovants, impact social, etc.).

Pour expliquer ce mélange de mythe et de réalité, retenons qu’il existe bel et bien des incitations financières spécialement pensées pour soutenir les femmes, mais elles ne représentent pas la majorité des aides distribuées. Le plus souvent, ce sont plutôt des accompagnements ou des mises en réseau qui font la différence. Dans certains cas, les subventions uniques et directes sont rares, ou très concurrentielles, car de nombreuses entrepreneures se positionnent sur ces mêmes opportunités. Cela signifie qu’il est important de bien préparer son dossier en amont et de mettre en avant ce qui rend votre projet original.

De plus, il faut rester vigilant vis-à-vis de certaines offres annoncées comme étant exclusivement réservées aux femmes : certaines publicités ou slogans peuvent prétendre à des aides inexistantes ou exagérément alléchantes. Il est donc recommandé de bien vérifier la source de l’information, de lire attentivement les critères d’éligibilité et éventuellement de solliciter des retours d’expériences auprès de personnes qui ont déjà bénéficié de la subvention en question. Comme souvent, la prudence est mère de la réussite.

Techniques pour optimiser vos recherches de financement

Pour augmenter vos chances de trouver une aide financière correspondant réellement à votre profil et à votre projet, quelques stratégies peuvent être mises en place. Avant tout, n’hésitez pas à échanger avec des associations et réseaux spécialement dédiés aux femmes entrepreneures comme Femmes Chefs d’Entreprises, les Pionnières (devenu Willa), ou encore Action’elles. Ces réseaux offrent témoignages et conseils, et certains proposent même un accès privilégié à des fonds ou à des concours sectoriels.

Ensuite, travailler votre plan de financement est essentiel : un business plan solide vous permettra de convaincre d’éventuels financeurs, primes ou concours. Veillez à mettre en avant les éléments-clés : viabilité financière (obtenir un bilan financier ici), perspective d’embauche, impact socio-environnemental. Vous pouvez illustrer ce dernier point en expliquant quels emplois vous comptez créer ou comment vous valorisez la production locale. Les financeurs sont d’autant plus réceptifs à un projet si celui-ci s’inscrit dans une démarche responsable et durable, un aspect souvent mis en avant par les cheffes d’entreprise nouvelle génération.

Enfin, rapprochez-vous des organismes publics, tels que les Chambres de commerce et d’industrie (CCI), qui organisent régulièrement des réunions d’information. Certaines sessions sont axées sur les aides à destination des femmes. Vous y rencontrerez potentiellement d’autres porteuses de projet et pourrez ainsi constituer un réseau de soutien précieux. Les CCI peuvent également faciliter le contact avec des banques partenaires, plus enclines à financer des projets à fort potentiel féminin.

Identifier son secteur et vérifier ses spécificités

Selon que votre entreprise opère dans l’artisanat, les services à la personne, la technologie ou l’agroalimentaire, vous pourrez prétendre à des aides différentes. De plus, si vous développez une innovation brevetable, des organismes comme Bpifrance proposent des solutions d’accompagnement, parfois assorties de subventions ou d’avances remboursables. Soyez attentive aux appels à projet lancés périodiquement, surtout dans les secteurs prioritaires (transition énergétique, numérisation des structures, relocalisation de la production, etc.).

Dans certains départements d’Outre-Mer ou zones rurales, des fonds spécifiques sont débloqués pour attirer les entrepreneures et développer l’économie locale. Là aussi, se montrer proactive et participer à des événements régionaux peut ouvrir des portes insoupçonnées. Pensez par exemple à parcourir les sites officiels de votre région ou département, qui publieront régulièrement des actualités concernant les dispositifs institutionnels.

Exemple concret : une cheffe d’entreprise dans l’artisanat local

Pour donner plus de relief à notre discussion, prenons l’exemple de Marie, cheffe d’entreprise dans l’artisanat local. Son idée : proposer des produits de fabrication artisanale, fabriqués en circuit court, avec l’ambition de valoriser les savoir-faire régionaux. Son atelier est situé en zone rurale, et elle envisage de recruter trois personnes à temps partiel. Ses nombreux leviers d’aides éventuelles incluent :

  • Une aide de la région destinée à encourager l’implantation de nouvelles activités artisanales en zone rurale, avec un volet particulier pour les initiatives portées par des femmes.
  • Un microcrédit bénéficiant de garanties par des organismes engagés dans l’égalité professionnelle. Il pourrait être obtenu à un taux préférentiel, grâce à un partenariat avec un réseau local de soutien à la création d’entreprise féminine.
  • Un concours départemental mettant en lumière l’innovation artisanale et le développement local, souvent doté d’une prime pouvant aller jusqu’à 5 000 euros.

En cumulant ces quelques sources de financement, Marie pourrait réduire son apport personnel initial et se lancer avec plus de sérénité. Cette configuration reste toutefois très variable d’un territoire à l’autre. Il n’empêche que ce type d’exemple illustre une réalité : même si les dispositifs ne sont pas tous spécifiquement « étiquetés féminin », le fait d’être une femme porteuse de projet dans une zone prioritaire ou avec un modèle innovant peut influencer positivement l’obtention de certaines aides.

Comment monter un dossier solide ?

Le secret réside dans la préparation. Voici un rappel des éléments à soigner :

  1. La présentation du projet : Démontrez la pertinence de votre activité, votre valeur ajoutée et les objectifs à court, moyen et long termes.
  2. Le business plan : Chiffrez de manière réaliste vos prévisions de ventes, de charges et de bénéfices. Soulignez les perspectives de croissance et l’impact potentiel pour la région.
  3. La cohérence financière : Montrez clairement l’équilibre entre besoins et ressources, ainsi que la façon dont vous comptez utiliser l’aide sollicitée.
  4. L’impact social : Mettez en avant la dimension humaine : créations d’emploi, partenariats avec des acteurs locaux, engagements en faveur de la parité, etc.

Lorsque votre dossier mentionne des éléments en faveur de la mixité, certains jurys de concours y sont sensibles, de même que les commissions d’attribution de subventions publiques. L’enjeu est de démontrer votre sérieux et de prouver que vous avez la motivation nécessaire pour développer une entreprise durable. En cas de refus, prenez le temps de solliciter un retour précis, afin de comprendre ce qui a manqué ou ce qui peut être amélioré pour une prochaine candidature.

Points de vigilance et erreurs fréquentes

Beaucoup de femmes entrepreneures se lancent dans des démarches de recherche de subventions ou de prêts en pensant que le simple fait d’être une cheffe d’entreprise ouvrira toutes les portes. En réalité, il est nécessaire de :

• Vérifier l’existence réelle de l’aide : Certaines aides relayées sur Internet sont obsolètes ou inactives. Il est donc impératif de faire des vérifications sur des portails institutionnels ou auprès de réseaux professionnels reconnus.

• Ne pas négliger les fonds privés : Les banques peuvent proposer des prêts dédiés à l’entrepreneuriat féminin, mais tout dépend de leur politique interne. Renseignez-vous pour identifier celles qui soutiennent spécifiquement les femmes.

• Être vigilante face aux arnaques : Malheureusement, des sociétés peu scrupuleuses se prétendent « expertes » en obtention de subventions et facturent des services de manière abusive. Préférez toujours passer par des structures reconnues (CCI, plateformes régionales, réseaux de cheffes d’entreprise…).

• Prester un pitch convaincant : Si vous candidatez à un concours ou présentez votre dossier à des financeurs potentiels, un pitch clair et concis reste un atout majeur. Mettez en avant vos valeurs, vos objectifs et la portée sociétale de votre entreprise.

Mon expérience auprès de femmes soutenues par des aides financières

Au fil de mes accompagnements et de mes rencontres, j’ai vu des femmes réussir à décrocher des subventions qu’elles pensaient inaccessibles au départ. Par exemple, Pauline, qui dirige une petite structure de marketing digital orientée vers les métiers d’art, a pu obtenir le soutien d’un programme régional en faveur de la transition numérique. Bien qu’elle ne se soit pas considérée comme « prioritaire », le fait qu’elle soit une femme porteuse d’un projet de valorisation artisanale a constitué un argument en plus. Elle a ainsi pu bénéficier d’un financement partiel pour développer un outil de vente en ligne destiné aux artisans locaux.

J’ai également croisé des entrepreneures se sentant découragées après des refus successifs de subventions. Certaines ont cru à tort qu’il existait des aides hyperfaciles à obtenir simplement parce qu’elles étaient femmes. Or, en réalité, la compétition est souvent forte, et la préparation du dossier requiert de l’énergie et de la persévérance. Dans des cas similaires, il peut être utile de s’entourer de conseils, que ce soit via un organisme public ou un mentor expérimenté, capable de repérer rapidement les points de blocage dans un dossier.

Je peux aussi témoigner de la force du réseau. Les rencontres dans des clubs d’entrepreneures se révèlent souvent décisives pour partager des infos sur les dispositifs disponibles, échanger des contacts ou même monter des projets collaboratifs. J’encourage vraiment toute cheffe d’entreprise qui se lance à ne pas rester isolée. C’est lors de ces échanges que l’on découvre parfois de petites subventions insoupçonnées, émanant de fondations ou de mécènes locaux.

Les avantages et limites des aides réservées

Il est important de souligner que les aides financières spécifiques aux femmes ne constituent pas une baguette magique. Elles présentent certes plusieurs avantages :

• Un soutien supplémentaire : Dans un contexte où l’accès au financement reste parfois plus complexe pour les femmes, pouvoir bénéficier d’un dispositif ciblé peut faire la différence. Cela permet de démarrer une activité ou d’investir dans un projet de développement qui aurait autrement été retardé ou annulé.

• La reconnaissance de la diversité : Le fait de mettre en lumière la spécificité féminine dans l’entrepreneuriat contribue à réduire les stéréotypes et encourage d’autres femmes à se lancer. De plus, cela incite les organismes de financement à développer des outils plus inclusifs.

En revanche, ces aides connaissent également certaines limites :

• De strictes conditions d’éligibilité : Pour réussir, il faut parfois remplir des critères exigeants, notamment en termes de rentabilité, d’impact social ou d’innovation. Par conséquent, tous les projets ne sont pas pris en compte.

• Des enveloppes budgétaires limitées : Le nombre de candidatures peut être bien supérieur aux financements disponibles, rendant l’accès à ces aides concurrentiel.

• L’effet « réserve de marché » : Parfois, le fait d’avoir un dispositif estampillé « féminin » peut alimenter la perception selon laquelle les femmes profiteraient de privilèges, ce qui n’est pas toujours bien compris par l’ensemble des acteurs économiques. Cela peut conduire à des incompréhensions ou des amalgames préjudiciables.

Les leviers complémentaires : mentorat, incubateurs et formations

S’il est primordial de connaître les différentes pistes de financement, il ne faut pas négliger les autres leviers d’appui. De nombreux incubateurs ou programmes de mentorat se sont spécialisés dans l’accompagnement des femmes. Ils offrent un suivi personnalisé, des ateliers thématiques (marketing, comptabilité, leadership) et, parfois, un accès facilité à des investisseurs particuliers. Dans ces espaces, l’émulation collective stimule la créativité et contribue souvent à renforcer la confiance en soi.

Par ailleurs, suivre des formations en ligne ou en présentiel peut apporter une compréhension plus fine des modalités de financement et des outils de gestion. Ainsi, vous optimiserez l’utilisation d’une éventuelle subvention ou d’un prêt. Vous saurez également présenter votre projet avec plus d’assurance lors d’appels à projets ou de soutenances. En effet, les financeurs apprécient que les cheffes d’entreprise maîtrisent les indicateurs-clés de croissance et qu’elles sachent évaluer correctement leurs risques et opportunités.

Enfin, n’hésitez pas à créer des liens et des synergies avec d’autres femmes. Parfois, deux ou trois entrepreneures peuvent se réunir pour déposer un dossier commun, surtout si leurs activités se complètent. Cela rassure les organismes financeurs en prouvant que vous partagerez ressources et expertises, ce qui renforce la probabilité de réussite.

En fin de parcours, mythe ou réalité ?

Pour répondre à la question initiale « Les aides financières réservées aux cheffes d’entreprise : mythe ou réalité ? », la conclusion se situe quelque part entre les deux. Il existe des aides spécifiques visant à promouvoir l’entrepreneuriat féminin, c’est une réalité : certaines subventions, concours et accompagnements dédiés peuvent accélérer la croissance d’un projet ou en faciliter le lancement. Toutefois, le fait d’être une femme ne constitue pas, à lui seul, un sésame automatique vers le financement. Les critères de sélection restent exigeants, et les ressources limitées par rapport au nombre de projets en concurrence.

Le plus important est de ne pas s’arrêter à l’idée qu’obtenir des fonds serait réservé aux autres. Renseignez-vous, évaluez votre éligibilité, préparez vos candidatures de manière stratégique et misez sur la formation, le mentorat et la mise en réseau pour renforcer vos chances de succès. Chaque étape de votre parcours entrepreneurial se nourrit d’opportunités différentes. Sur ce blog, l’équipe et moi-même restons à l’écoute de vos questions et retours d’expérience afin de continuer à partager conseils, témoignages et bonnes pratiques. Je crois fermement que, si vous avez en vous la motivation et la détermination pour concrétiser votre projet, vous trouverez des appuis – financiers et humains – pour avancer avec sérénité.

Alors, à vous de jouer : ne laissez pas passer les opportunités que vous pourriez saisir, qu’elles soient spécifiquement réservées ou non. Gardez confiance et restez curieuse quant aux divers dispositifs susceptibles de booster votre entreprise. J’espère que ce tour d’horizon vous aura éclairée et rassurée, et surtout aura nourri votre envie de continuer dans cette formidable aventure qu’est l’entrepreneuriat.

Si vous souhaitez approfondir vos recherches, obtenir des conseils additionnels ou partager votre propre expérience, n’hésitez pas à me contacter via le formulaire disponible sur mon blog ou par le biais de nos réseaux sociaux. Puisque l’entrepreneuriat est une longue route, rendons-la plus agréable en avançant main dans la main. Je vous dis à très vite, et je vous souhaite le meilleur succès dans toutes vos démarches de financement !

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